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parti socialiste - Page 2

  • Terreur (d'État) au Testet

    Séquences de l'ambiance le 25 octobre 2014 au Testet (Tarn) avant la mort du militant écologiste Rémi Fraisse.

    Captation vidéo réalisée par le Groupe Groix.


  • Soutien militant à Alain Pojolat. Arrêt des poursuites

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    Communiqué de presse des Alternatifs - 4 août 2014

    Les 19 et 26 juillet dernier, malgré l’interdiction de l’Etat français pro israélien, des milliers de personnes ont manifesté dans le calme à Paris pour condamner les bombardements aveugles et meurtriers qui s’abattent sur GAZA. Des débordements venant d’éléments provocateurs infiltrés se sont déroulés à la marge de ces manifestions parisiennes en soutien au peuple palestinien.

    pojolat.jpgAujourd’hui, le pouvoir socialiste veut rendre responsable de ces débordements les organisateurs des manifestations interdites. le camarade du NPA Alain Pojolat qui avait déposé son nom en représentation de l’ensemble des collectifs appelant à la manifestation du 26 juillet fait l’objet de poursuites par le parquet de Paris pour organisation de manifestation interdite. Il comparaîtra devant le Tribunal de Grande Instance de Paris le 22 octobre 2014.

    La décision de poursuivre notre camarade Alain Pojolat est une illustration supplémentaire de l’alignement du gouvernement Hollande-Valls sur la politique belliciste du gouvernement israélien et du glissement sécuritaire et liberticide du pouvoir en place qui voudrait museler toute contestation.

    Les Alternatifs demandent l’arrêt des poursuites engagées contre Alain Pojolat et plus généralement l’arrêt de la criminalisation du mouvement de soutien au peuple palestinien.

    Les Alternatifs renouvellent leur soutien à la résistance du peuple palestinien.

    (Crédit photo : NPA)

    Aller plus loin :

    - Pétition de soutien à Alain Pojolat

  • Communiqué de positionnement du collectif A.R.T 29 suite à l'allocution de Manuel Valls du 19 juin 2014

    Brest le  25 juin 2014

    Depuis le mois de Février, travailleurs intermittents, intérimaires, chômeurs et précaires se mobilisent pour une réforme de l'assurance chômage plus juste que celle signée entre les organisations patronales et trois syndicats de salariés non représentatifs de nos professions ( FO - CFDT et CFTC ), la CGT et la CGC ayant refusées de l'approuver.

    Malgré l'ampleur de cette mobilisation nationale, ainsi que les prises de position publiques de centaines d'élus locaux, de parlementaires et d'acteurs culturels et économiques contre l'agrément de cette convention par le ministère du Travail le gouvernement a choisi le passage en force.

    3339184959.jpgDans son allocution du 19 juin, M Valls a annoncé concernant les annexes 8 et 10 dont dépendent les salariés intermittents, que l'Etat prendrait à sa charge, à titre de mesure transitoire, la perte financière causée par la mesure du différé d'indemnisation (90 millions d'euros sur une année pleine) pour sauver l'exception culturelle française. Il tente ainsi de déplacer le débat de la protection sociale sur la question culturelle. Nous nous battons pour la défense de la politique culturelle mais nous nous battons aussi pour la défense des droits sociaux.

    Nous ne sommes pas dupes de ce cadeau empoisonné. Il n'a pour seul objectif que de briser notre détermination et nous éloigner des autres salariés en lutte afin de laisser passer l'été, ses festivals et leurs retombées économiques.

    Nous ne sommes pas des privilégiés et refusons de le devenir, surtout en période d'austérité. L'Etat n'a pas à se substituer à la solidarité interprofessionnelle au nom de l'exception culturelle française.

    Nous restons solidaires des intérimaires, chômeurs et de tous ceux qui, dans leur profession, sont soumis à l'emploi discontinu. Nous sommes tous concernés par cette réforme car c'est l'assurance chômage dans son ensemble qui est attaquée au nom de l'austérité.

    Si le régime actuel de l'assurance chômage fut pensé pour le plein emploi, aujourd'hui, 86% des embauches se font en CDD et impliquent alternance de périodes d'emploi et de non emploi. Le régime d'indemnisation des travailleurs intermittents est un modèle de protection contre le chômage qui pourrait s'étendre aux autres professions et cela, le MEDEF le craint. C'est pourquoi régulièrement, il l'attaque jusqu'à demander sa suppression.

    Il y a urgence, car si l'accord est signé demain, il le sera pour 2 ans et pour tous les chômeurs ! Quelle place pour les négociations souhaitées par M. Valls quand le Comité de suivi de réforme sur l'intermittence n'est pas autour de la table ?

    Pour toutes ces raisons, nous rejetons en bloc les propositions de M Valls !

    Comme nous avons rencontré les cheminots et les employés de Pôle Emploi, nous irons rencontrer les personnels de santé, les postiers et tous ceux qui se battent pour des droits sociaux plus justes !

    Nous sommes déterminés à participer à la convergence des luttes.

    Nos actions pas ne s’arrêteront pas tant que nous n'aurons pas obtenu le retrait de la convention, préalable nécessaire avant de retrouver la table des négociations autour des propositions du Comité de suivi de réforme sur l'intermittence !

     Notre mobilisation ne faiblit pas !

    CE QUE NOUS DEFENDONS NOUS LE DEFENDONS POUR TOUS !!!

    Collectif ART29
    www.art29.net 


    Intervention du Collectif ART29 - Fête de la... par art-29

  • Réforme ferroviaire : voyageurs le saviez-vous ?

    Texte du tract diffusé par SUD Rail Paris Sud-Est
    pour contrer la propagande de la direction de la SNCF et des médias.

    sncf_33-300x168.jpgLes cheminots sont en grève contre la réforme ferroviaire. Pour la plupart des usagers du rail, c’est mal vécu.Pour nous, salariés de la SNCF, c’est aussi douloureux car nous perdons notre salaire comme cela a toujours été le cas pendant une grève. Sinon, nous y serions tous les jours ! Nous savons aussi que notre avenir professionnel et social est en jeu.

    Nous luttons contre l’éclatement de la SNCF prévu dans le projet de loi. Contrairement à ce que beaucoup de gens croient à cause des médias, il ne s’agit pas de réunifier le rail, mais de séparer complètement la gestion des voies et des quais du transport de voyageurs.

    Deuxième volet de la loi : construire une nouvelle réglementation du travail alignée sur le moins-disant social. L’exemple pris par le gouvernement et le patronat est celui des routiers.

    Ce n’est pas pour des raisons de concurrence car il pourrait très bien y avoir de bonnes conditions de travail identiques pour tous : la concurrence serait respectée.

    Loin du discours sur le développement durable et l’importance écologique du ferroviaire, il s’agit plutôt de préparer l’arrivée d’actionnaires qui eux, ont besoin de conditions sociales dégradées pour récolter des dividendes.

    Mais pour les usagers, cela ne fera qu’empirer les conséquences que vous subissez tous les jours...

    - Lire l'intégralité du tract de Sud Rail

  • Vote électronique : un rapport qui accouche d'une souris

    Autant poser clairement les choses, le rapport parlementaire rendu public le 14 avril 2014 par les sénateurs Alain Anziani (PS) et Antoine Lefèvre (UMP) ne fera pas date dans la littérature consacrée au  vote électronique, qu'il se pratique via l'interface de machines à voter ou par internet.

    Bien que ce rapport s'affiche comme critique sur l'usage des machines à voter et du vote sur Internet, les prescriptions émises s'avèrent bien faibles, voir pas très courageuses au regard des régressions introduites par le vote électronique lors d'un processus électoral. Il transpire clairement de ce document la volonté de ne pas désavouer les élus locaux qui se sont déjà engagé dans l'impasse des machines à voter et de ne pas fermer la porte aux industriels de l'informatique et à leur potentiel marché  juteux du vote électronique.

    francois-hollande.jpgMalgré le fait que ce rapport s'intitule "Vote électronique : préserver la confiance des électeurs", l'attention aux citoyens électeurs est le grand absent des prescriptions proposées. Sur le fond, comment considérer en effet que le vote électronique puisse s'apparenter à une modernisation d'un mode de scrutin quand, au vu de l'opacité et du caractère invérifiable du système de vote électronique utilisé, il s'avère désormais impossible pour les citoyens de contrôler le bon déroulement de toutes les étapes des scrutins électoraux. Comment oser s'attendre à de la « confiance » de la part des électeurs lorsque l'action de « voter » se résume dès lors à cliquer sur un bouton sans avoir la garantie que son « vote » électronique soit bien crédité au compte de voix du candidat ou de la liste de personnes de son choix. Comment évoquer une soit-disant « confiance » lorsqu'il est désormais impossible de recompter des « bulletins » (sic) dématérialisés en cas d'erreur ou de contestation. Cette confiance ne s'acquerra jamais par la délégation imposée de son droit légitime de contrôle à un tiers. Cette confiance ne pourra pas par ailleurs s'artificialiser par le bidouillage du Code électoral par les législateurs pour rendre « légal » des procédés indignes d'un pays qui veut se prétendre être une démocratie. Qu'on se le dise une fois pour toute, le vote électronique, via des machines à voter ou par internet, introduit de facto la notion de doute dans le processus électoral.

    machineàvoterNEDAP.jpgSi les sénateurs Alain Anziani et Antoine Lefèvre avaient été honnêtes dans leur démarche, on aurait pu s'attendre au minimum de leur part qu'ils apportent de la précision dans leur exposé concernant les expérimentations européennes. On aurait apprécié que les deux sénateurs rappellent que les machines à voter tour à tour désavouées ces dernières années en Irlande, aux Pays-Bas ou bien en Allemagne étaient fabriquées par l'entreprise néerlandaise NEDAP. Machines à voter NEDAP qui s'avèrent correspondre à près de 80 % des ordinateurs de vote utilisés encore à l'heure actuelle en France ! Témoignage de la persistance d'un « syndrôme de Tchernobyl » franco franchouillard qui fait toujours s'arrêter miraculeusement les questions dérangeantes aux frontières de notre beau pays ? La prescription des deux sénateurs d'un retrait pur et simple par le Ministre de l'Intérieur de l'agrément des machines à voter NEDAP aurait tenu d'un véritable courage politique. Voir à minima d'une demande d'un moratoire sur l'utilisation des machines à voter utilisées en France à l'image de celle faite en 2007 par le Parti socialiste à la veille des élections législatives. Le courage politique tant attendu sur le dossier du vote électronique sera t-il en dernier lieu à l'initiative de Bernard Caseneuve Ministre de l'intérieur fraîchement nommé ?

    Pétition pour le maintien du vote papier
    Actuellement signatures !

     Aller plus loin :

    Vote électronique : préserver la confiance des électeurs" - Rapport d'information de MM. Alain Anziani et Antoine Lefèvre, fait au nom de la commission des lois - Rapport n° 445 (2013-2014) - 9 avril 2014

    Machines à voter : A quand le moratoire demandé en 2007 par le Parti Socialiste ?
    Communiqué de presse des Alternatifs - 7 février 2013

    Abandon du vote électronique lors des scrutins électoraux : le PS se fait attendre !
    Alternatifs de Bretagne – 4 juin 2013

    Lettre ouverte des Alternatifs à l’attention du Bureau National du Parti Socialiste et de son candidat à l’élection présidentielle de 2012 - 03 décembre 2011

    Le Parti socialiste demande un moratoire sur l’utilisation des machines à voter lors des élections présidentielles et législatives. - Communiqué de presse du Bureau National du Parti Socialiste - 27 mars 2007

    un moratoire concernant le vote électronique déjà demandé en 2005 par les sections internet du Parti Socialiste français et du SPD allemenand !

    Vote électronique : recul démocratique à Brest ! 
    Par Chris Perrot - 24 février 2004

    Ordinateurs-de-vote.org
    Citoyens et informaticiens pour un vote vérifié par l'électeur

    Ethique citoyenne
    L'éthique, l'autre dimension du pacte social

    Pétition pour le maintien du vote papier

    A lire :

    - « La controverse des machines à voter en France », Par Chantal Engheuard
    Mémoire de Master 2 de l'Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales soutenu le 14 septembre 2011.

    - « Introduction à l'analyse de chimères technologiques, le cas du vote électronique », Editions du CNRS, Cahiers Droit, Sciences & Technologies, n°3, (2010), p:261-278.

    A voir :

    Interview de Chantal Enguehard, maître de conférence
    au Laboratoire Informatique de Nantes Atlantique (LINA)


    voteelec par Numerama - 2012

    MACHINES A VOTER – FRAUDE POSSIBLE par aidcm


    Fraudes et Machines à voter trucables par rikiai